Ce vendredi-là, particulièrement, Prométhée avait la sensation d’être
enchaîné. C’est exactement le terme qui définit sa situation. Celle-ci en
fonction non seulement des circonstances en elles-mêmes, mais aussi sachant que
son talent était employé de manière inappropriée. Voilà la raison pour laquelle
il est sorti du bureau au milieu de l’après-midi en laissant ses obligations de
côté. Cher lecteur ou lectrice, je vous dis que la narration d’un tel évènement
n’est pas commune, si on considère tout ce qui se passe quotidiennement.
Imaginez une personne sortir du bureau, au milieu de l’après-midi, laisser de
côté les délais et les tâches, pour se balader, n’importe où, juste pour le
simple plaisir de se balader ! Eh bien, Prométhée avait le désir de
Dans ce bureau, il y avait une ambiance un petit peu suffocante. En
fait, elle était très suffocante. Des murs peints en gris aussi bien que le
sol, les tables et les ordinateurs. Bref, une ambiance complètement grise. D’un
autre côté, les conduits d'air conditionné étaient doublement
désagréables : premièrement, ils sonnaient d’un bruit extrêmement agressif
pour les oreilles ; deuxièmement, ils dispersaient la fumée du cigare en
sortant directement du bureau de direction partout. Tout le monde sentait cette
odeur déplaisante – croyez-moi ! – mais personne ne disait rien. D’ailleurs,
cet air conditionné asséchait les yeux, et pour ceux qui avaient des problèmes
de vision, comme c'était le cas de certains collègues du département, c'était
un autre problème. Quitter cette ambiance, même pour peu de temps, était une
expérience libératrice. Ainsi, le déplacement entre le bureau et le café était
un véritable bonheur. Se balader n’importe où, pouvoir marcher, sentir la brise
fraîche au visage, tout cela était une sensation extrêmement agréable.
D’ailleurs, comment on peut évaluer ces moments ?
Cette playlist jouait des
chansons variées. Une playlist qui se
respecte doit avoir de la diversité. Imaginez les styles musicaux et les
artistes les plus différents aussi bien que les nationalités et les régions.
Pourtant, ce n’était pas toujours comme cela. Notre personnage n’oubliait pas
les moments dans lesquels il avait l’audition musicale bien plus étroite,
c’est-à-dire qu’il y avait une prédilection pour un seul style musical. Il y
avait certaines choses qui semblent être comme cela, autrement dit, dans certaines
circonstances, notre attention est dirigée vers un seul objet. Et cette
inclination semble avoir de la signification… jusqu’à un certain point !
Toutefois, les phénomènes musicaux sont complexes et leurs manifestations sont
susceptibles d’appréciations variées. Dans ce sens, amplifier les capacités
auditives est aussi amplifier la capacité de compréhension. Les personnes qui
cultivent l’habitude de l’appréciation musicale sont de bonnes auditrices, et
les personnes qui apprécient différents styles musicaux sont plus tolérantes,
donc l’habitude de l’appréciation musicale raffine l’entendement et
perfectionne l’art de la convivialité. Dernièrement, ces idées ont traversé son
imagination. Mais elles n’étaient simplement que des idées. Pourtant, la chose
la plus inquiétante, c’était la manifestation du temps dans la musique. Est-ce
que le temps existe ? Est-ce que le temps est absolu ? Est-ce que le temps est
relatif ? Pair ailleurs, si le temps se déroule, comment peut-on le percevoir ?
Si c’est le cas, il serait aussi perceptible dans la musique ? Ici, on parle du
temps qui se déroule dans la musique, mais, et quant au niveau du temps vital,
c’est-à-dire le temps qui se déroule dans la vie des êtres humains ? Comment
peut-on le comprendre ?
Prométhée était déjà sorti du bâtiment et se baladait sur le trottoir
depuis quelque temps. Il y avait encore un tronçon à parcourir. La rue était
pleine de gens. Les gens circulaient. Ils croisaient son chemin en allant et
venant. Déjà au coin, devant lui, le petit bonhomme, de l'autre côté du
trottoir et au-dessus du passage piéton, éclairé en rouge, indiquait que l'on
devait attendre un peu plus longtemps. Le feu rouge indique qu'il n'est pas
possible de traverser la rue, cependant il est bientôt devenu vert, ce qui
indique que le chemin est libre. Et, ainsi, il a continué à se balader. À ce
point du tronçon, notre personnage remarquait comment la ville était une chose
étrange : beaucoup de personnes concentrées, des voitures et des motos qui
circulent à un rythme frénétique, des établissements commerciaux qui vendent
les produits les plus variés, sans mentionner une autre infinité de choses
aussi bien que tout le type de pollution. Des bruits et des sons divers, ainsi
que des chants d'oiseaux, se sont fait concurrence dans une sorte de
coexistence forcée d’un même paysage. Et voilà où les personnes vivent au
milieu de toute cette étrangeté – celles qui vivent, pourtant, et les personnes
qui seulement survivent ? Et les personnes qui sont jetées par les trottoirs ?
À ce point de la balade, Prométhée pensait à ce qu'il allait demander
en arrivant au café. Les cafés sont des lieux extrêmement représentatifs.
Celui-ci, spécifiquement proche du bureau, promouvait des événements
littéraires et philosophiques. C’est-à-dire, l’ambiance était un lieu très
accueillant et approprié au développement
Tout au long du parcours, il y avait aussi un musée situé dans un
boulevard très important. L’image de cette institution est venue à son
imagination quand il a remarqué qu’il était à chaque fois plus proche. Il est
aussi venu à son imagination d’autres images, non plus vivaces, sur les
différentes œuvres d’art de ce musée, qui ont été observées pendant quelques-uns
de ses rendez-vous. Il avait beaucoup d’œuvres, donc ce n’était pas possible de
se souvenir de la totalité. Vu que l'institution approchait de plus en plus, le
torrent de pensées devenait plus intense. Il y avait différentes œuvres d’art
là-bas. Des peintures, des gravures, des dessins, des sculptures et des
tapisseries, par exemple. S’il y a peu de temps on a élaboré quelques
questions, c’est-à-dire, l’esquisse d’une investigation sur l’existence et la
manifestation du temps dans la musique et dans la vie des personnes, est-ce qu’il
serait possible d’étendre cette réflexion aux œuvres d’art les plus variées ?
Si on peut percevoir le passage du temps, serait-il également perceptible à
travers des manifestations artistiques les plus diverses ? Et la playlist continuait encore de passer, et
à ce moment-là, les notes d'un solo de jazz
résonnaient à ses oreilles.
Le vendredi après-midi était étonnamment agréable. Le climat n’était
pas si chaud. Toutefois, depuis un certain temps, les après-midis devenaient de
plus en plus nuageux, alors que la pluie tombait abondamment. Les inondations
deviennent monnaie courante à plusieurs endroits. Le plus impressionnant est
que les pluies d’été étaient devenues plus intenses et plus concentrées.
Maintenant, il était à la porte du café, mais avant d’entrer, Prométhée a
regardé les arbres sur le trottoir et a remarqué le verdissement de leurs
feuillages. Il n'a également pas arrêté de penser à la force vitale extrêmement
vigoureuse de cet extrait de la nature, dont la vie persévérait au milieu de
l'asphalte et du béton. Avec ces images de la nature, notre personnage est
entré dans le café.
Une fois à table, une serveuse extrêmement sympathique et disponible,
Vanessa, est venue à sa rencontre. À l’occasion, elle lui a apporté le menu.
Après avoir feuilleté quelques-unes de ses pages, notre personnage a demandé un
cappuccino et un croissant. La demande a été prise en
compte. Pendant qu'il les attendait, Prométhée a remarqué que l'ambiance était
pratiquement pleine. Il y avait un
Vanessa: Voici votre commande, Prométhée.
Un cappuccino et un croissant. Bon appétit !
Prométhée: Merci, Vanessa !
Maintenant, il était temps de goûter le cappuccino et de déguster le croissant.
Et, finalement, réfléchir calmement sur la vie. Après avoir fait ces
considérations sur le temps, son existence, sa manifestation dans la musique et
dans les arts d’une manière générale, notre personnage a orienté cette
réflexion dans le cadre de la vie personnelle. Alternant une gorgée de boisson
et une bouchée de viennoiserie,
Prométhée se sentait beaucoup plus à l'aise dans le café. Dans ce lieu, il se
sentait accueilli, bien que les personnes soient différentes. Au bureau, le
travail en soi était agréable, il y avait des défis, et ses capacités
intellectuelles étaient mises à l'épreuve. Autrement dit, Prométhée se sentait
défié. Toutefois, il n'était pas satisfait de l'ambiance. Comment était-ce possible
d’employer les capacités intellectuelles dans un lieu plein de problèmes ? D’un
côté, l’ambiance monochromatique ne stimulait pas l’inventivité. D’un autre
côté, le bruit de l’air conditionné était agaçant. Et comme si ce n’était pas
suffisant, la fumée du cigare sortant directement du bureau de direction
envahissait toute l’ambiance. Prométhée n'était même pas un fumeur et tout cela
n'était qu'une véritable provocation pour lui. Cependant, en fonction des
circonstances évidentes, ni lui ni ses collègues de travail ne pouvaient se
plaindre. Et comme il se souciait de sa santé et de ses conditions de travail,
il avait trouvé une solution pour sortir de l'impasse. C’était un vendredi
après-midi d’été. Après avoir réfléchi et savouré le cappuccino et le croissant,
il était temps de régler l'addition. Mais il était aussi temps
Prométhée : Au revoir, Vanessa !
C’était super savoureux comme d’habitude. Bon après-midi à vous !
Vanessa : Au revoir, Prométhée !
C’était un plaisir de vous accueillir une fois de plus !
La pluie avait commencé ; et la pluie est une manifestation extrêmement
vigoureuse de la nature. Cependant, le parapluie était au bureau. Alors, il
était nécessaire de demander un transport au moyen du téléphone portable. Un
chauffeur a été appelé, le trajet a été indiqué et, après quelques minutes, la
voiture est arrivée. Le chauffeur s’appelait Antônio. Et le trajet n’était pas
si long en voiture. Dans quelques minutes, il sera retourné. La sensation qu’il
avait à ce moment-là ? Eh bien, je laisserai cela pour que le lecteur ou la
lectrice essaye de découvrir cela par la suite. Le retour a été très rapide.
Quelques feux de circulation étaient rouges et bien d’autres verts au cours du
chemin. Sur le chemin du retour, le musée a été vu à gauche par la fenêtre de
la voiture et beaucoup d’images et de souvenirs lui
Supérieur immédiat : Prométhée !
Je vous cherche depuis longtemps. Où étiez-vous tout l'après-midi ?
Prométhée : Bonjour, Monsieur ! Je suis
sorti l’après-midi.
Supérieur immédiat : C'était bien ce que
je pensais. Et où étiez-vous ?
Prométhée : Ne
le prenez pas mal, j’avais besoin de sortir du bureau un
peu pour m’aérer la tête.
Supérieur immédiat : Qu’est-ce que vous voulez
dire ? Quitter le bureau en plein milieu d'un vendredi après-midi pour vous
aérer la tête ?
Prométhée : Oui, oui, c’est ça. Je suis
sorti pour donner libre cours à mes pensées. J'ai quelques impressions que
j'aimerais partager avec vous.
Supérieur immédiat : Ecoutez, toutes
ces paroles sont très étranges et je ne les aime pas beaucoup.
Prométhée : Eh bien, indépendamment de
tout ça, j'aimerais vous dire que je ne suis pas satisfait de mes conditions de
travail. Je réévalue beaucoup de choses dans ma vie. Depuis un certain temps,
je cultive la lecture plus intensément, j'apprécie les œuvres d'art les plus
diverses et j'écoute de la musique de différents styles, et en quittant le
bureau cet après-midi, j'ai notamment mis ma playlist préférée pendant la balade. Après avoir commencé à
cultiver toutes ces habitudes avec encore plus d’intensité, les réflexions
philosophiques sur le temps ont commencé à occuper une grande partie de mes
pensées. En d'autres termes, le temps passe et je me sens enchaîné.
Supérieur immédiat : Prométhée, j’ai
remarqué que vous étiez un peu étrange dernièrement.
Prométhée : Regardez, les choses ne
sont pas exactement comme ça. Je ne suis pas « un peu étrange dernièrement
». En fait, ce qui se passe, c'est que je réévalue vraiment ce que je fais dans
ma vie. J'aimerais partager avec vous quelques considérations sur notre lieu de
travail, par exemple. Écoutez attentivement ce que j'ai à dire et essayez de
comprendre mon point de vue avant de porter un jugement trop hâtif.
Supérieur immédiat : Notre lieu de travail
est parfait. Il n'y a aucun problème. Les départements travaillent en harmonie,
les gens s'entendent bien, l'équipe travaille en synergie. Par ailleurs,
l'environnement est très propice à la productivité. Il n'y a rien à se
plaindre, si vous comprenez ce que je veux dire.
Prométhée : Oh là là Monsieur, une fois de plus, ne le prenez pas mal, mais je ne suis pas d’accord avec votre opinion. Voici ce que j’ai à dire selon notre expérience quotidienne : J’ai l’impression que le bureau est une ambiance un petit peu suffocante. En fait, elle est très suffocante. Des murs peints en gris, aussi bien le sol, les tables et les ordinateurs. Bref, une ambiance complètement grise. Rien de ça ne stimule rien l'inventivité, la naissance de nouvelles idées ou la production de solutions créatives aux problèmes complexes. Bref, quand je suis au bureau, je dois faire un effort herculéen pour que ma pensée ne soit pas paralysée. Et ma pensée, si vous comprenez ce que je veux dire, est toujours en mouvement.
Supérieur immédiat : Je n'ai reçu
aucune plainte jusqu'à présent. Vous êtes la seule personne à avoir fait cela.
Et quelle audace, non ?
Prométhée : Je suis donc le pionnier
dans cette affaire ?
Supérieur immédiat : Gardez les
ironies pour vos collègues de travail.
Prométhée : Il ne s'agit pas
d'ironie, mais de la reconnaissance d'une réussite. À propos, permettez-moi de
compléter mes considérations. J'ai une autre plainte à faire concernant l'air
conditionné. Les conduits d'air conditionné sont doublement désagréables :
premièrement, ils sonnent d’un bruit extrêmement agressif pour les oreilles ;
deuxièmement, ils dispersent la fumée du cigare partout en sortant directement
du bureau de direction. D’ailleurs, cet air conditionné assèche les yeux, et
pour ceux qui ont des problèmes de vision, comme c'était le cas pour certains collègues
du département, c'est un autre problème.
Supérieur immédiat : Synthétisons la
conversation. Où voulez-vous en venir ?
Prométhée : Voilà, je constate que
mes critiques constructives n'ont pas été bien accueillies. En effet, je suis
un jeune homme qui a toute la vie à vivre. Comme je porte une attention
soutenue aux résultats de mon travail et à ma santé, voici mon badge ! Comme je
sais que je ne serai pas licencié, je préfère anticiper le mouvement. De plus,
je sais qu'il me reste encore quelques tâches à accomplir. Alors mes conditions
sont les suivantes : une fois les tâches pendantes finalisées, je peux aller au
RH pour signer la paperasse.
Supérieur immédiat : J'ai besoin de
vous expliquer que c'est notre style. Notre ambiance a toujours été comme ça.
Personne ne s'est jamais plaint. Et notre entreprise est extrêmement rentable.
Nous sommes très présents dans des endroits inimaginables. Quant à la fumée de
cigare qui vient de la salle de réunion, c'est comme ça. Mais ne vous inquiétez
pas. Il n'est pas nécessaire de finaliser les tâches pendantes. J'en parlerai
aux responsables des ressources humaines et, à partir de lundi, vous n'aurez
plus besoin de venir au bureau. En fait, je suis très triste par rapport à
toute cette situation. Je ne m'attendais pas à ce que vos réflexions vous
mènent si loin et vous fassent prendre une si mauvaise décision !
Prométhée : Bien, comme il est déjà
17 heures, on est arrivé à la fin du service. Je vais à mon bureau pour
organiser mes affaires. Je vous souhaite un bon après-midi !
Supérieur immédiat : Bonne chance et
bon courage !
Après ce bref dialogue, Prométhée est allé à son département, a
organisé ses affaires et a pris son parapluie. Il pleuvait encore. Il était
déjà plus de 17 heures et le bureau était vide. Il n'a pas eu le temps de dire
au revoir à personne. Comme les ordinateurs avaient déjà été éteints, l’air
conditionné était plus bruyant et l’ambiance monochromatique plus monotone.
Voici la question qui lui venait à la tête, dans ces circonstances : comment a-t-il pu consacrer autant d'énergie
à une telle entreprise pendant si longtemps ? Il avait le sentiment qu'il y
avait d'autres expériences bien plus passionnantes à vivre, comme continuer à
cultiver les humanités, former sa pensée et commencer une nouvelle carrière.
Avec ses affaires dans un sac à dos et son parapluie à la main, Prométhée est
parti en direction de l'ascenseur. Il est dans le hall quand, à sa grande surprise, le directeur est apparu de
l'autre côté du couloir. Il avait son téléphone portable à la main, le regard
tourné vers l'écran en tapant un message, et il avançait vers Prométhée.
Directeur : Comment allez-vous ?
Prométhée : Bonjour !
Directeur : J'ai besoin que vous veniez à
mon bureau à la première heure le lundi.
Prométhée : Je suis désolé, ce n'est pas
possible.
Directeur : Qu'est-ce que voulez-vous dire
? Qu'est-ce qui se passe ? Vous êtes un excellent employé.
Prométhée : Aujourd'hui, c'était mon
dernier jour de travail.
L'ascenseur
arrive et ils y montent tous les deux. Prométhée indique le rez-de-chaussée et
le directeur le deuxième sous-sol. Le dialogue continue...
Directeur : Ah bon ? Y a-t-il une raison
particulière à votre licenciement ?
Prométhée : Oui, il y a deux raisons.
C'est une histoire un peu longue. Je vous suggère d'en parler au supérieur
immédiat, à qui j'ai parlé en fin d’après-midi. Il pourra vous donner les
raisons. Cependant, j'ai l'impression que l'une d'entre elles sera omise.
Directeur : Utilisez votre pouvoir de
synthèse. Nous sommes toujours au 20e étage. D'ailleurs, comme l’une des
raisons sera omise, n'hésitez pas à me la communiquer. Ainsi, je saurai ce qui
s'est passé avant.
Pause
pour quelques instants. L'ascenseur continue de descendre.
Prométhée : Je vous remercie de votre
attention. Comme vous insistez, j'espère que vous ne le prenez pas mal. Votre
cigare ne doit pas être de très bonne qualité, n'est-ce pas ?
L'ascenseur arrive au rez-de-chaussée et le directeur, déconcerté, ne
sait plus quoi dire. Prométhée est discrètement sorti et a esquissé un
sourire en coin. Ses affaire et le parapluie sont encore dans ses mains.
Sur la peinture :
Edgar Degas (1834 – 1917)
Café
Singer
1879
Huile sur
toile
The Art Institute of Chicago